...
J’ai appris de toi,
l’absolu du présent,
l’intensité du désir,
le précieux des souvenirs
et l’infinie douceur de l’attente.
L’ensolitude est un grand cercle,
avec ce vide immobile
où je ne te rejoins pas
car je me cherche encore.
Dis moi qui tu es, dit le désir.
Je suis la porte ouverte
à l’arc en ciel des possibles.
Avec toi vraiment cheminer par de si longues routes détournées du temps avec toi, toujours se partager pour s’agrandir avec toi, certainement écarter les souffrances et de renaissance en renaissance avec toi parfois sans toi à te chercher encore.
De quel feu es-tu flamme
pour brûler mes impatiences.
Je reste à la dérive de ton insatisfaction,
foudre-écho de tes orages.
Un tout petit regard suffit parfois
à l’énergie d’un projet.
Un geste esquissé pour modeler l’espace.
Si tu avais su le merveilleux en toi
pour créer l’impossible en moi.
- Jacques Salomé -
"Toi, mon Infinitude"
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vendredi 3 juillet 2009
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